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  • : Toby Dammit's Trip
  • : Regarde-moi. Ne reconnais-tu pas le lieu inviolable de ton intime souffrance, la souffrance mirage, l'abîme avant le shoot et le suprême plaisir. Absorbe avec délice la douleur - au miroir que je te tends tu te reconnaîtras enfin - et t'envahira l'ultime extase que tu fuyais depuis l'enfance. Abandonne-toi.
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  • Terence Carroll
  • Ecrivain gigolo métaphysique à personnalité multiple, je me toque de l'excellente sorcellerie qui fait débusquer Dieu sous les jupes des filles. Night sky I'm sex and blood, no limit forever and ever. C'est sans espoir. Pourvou qué ça doure.
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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 06:04


Ce matin, surpris de m'être réveillé, je me prends pour mon propre fantôme.
Hier soir, sur mon journal papier, j'avais écrit ceci... 




Puis j'avais gobé, avec qqs verres de cognac, un peu trop (euphémisme) de ceci...

 

Et ce matin je me retrouve - normal - dans le néant, sauf que ma lampe de chevet est restée allumée, merde !...

"Qd je pense à une histoire de fantômes, je songe à des fauteuils à bascule qui se balancent tout seuls, à des cris qui retentissent dans une pièce vide, à des enfants frileusement serrés près d'un vieillard au long visage austère racontant - le verbe grave et l'accent lugubre à souhait - de sinistres histoires de défunts..."

Un truc dans le genre.

Je pense souvent à moi comme une enfant perdue de toute éternité, à jamais consciente d'être perdue et seule. Claudia, l'enfant vampire décrite par Ann Rice, résignée, peignant sa crinière blonde avec en fond sonore le terrible battement du Coeur Récalcitrant d'Edgar Allan Poë. 

Je me pense en orpheline de toute l'humanité.

Dans les contes (Andersen, Grimm,... jusqu'à Wilde), souvent on lit ce genre de phrase dite par une jolie nana dépenaillée, aux yeux tristes et à la longue chevelure à la gipsy :

-  MAIS QUI VOUDRAIT D'UNE PAUVRE ORPHELINE ?...


Ma lampe de chevet                             




Terence Carroll

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commentaires

F
Je souhaiterais que tu postes plus souvent, c'est toujours plein d'émotions tes posts, j'aime bien lire ce que tu ressens, car ces fauteuils à bascule me font toujours peur.<br /> Et me vieillard qui raconte de sinistres histoires, c'est pas banal.<br /> Merci pour tout ça !<br /> xxFran
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H
Ce que tu écris (le journal papier, très petit pour moi, mais j'ai compris la présence de l'idée de la mort...) m'évoque les films d'horreur muets en noir et blanc de début du siècle.<br /> Le désespoir de l'enfant vampire, les films d'horreur japonais récents... Ou encore le film où une créature horrible, blanche laiteuse, dégoulinante, sort de l'écran pour entraîner avec elle ceux qui la regardent...<br /> Nous sommes seuls avec notre fantôme de nous-mêmes, et le risque de basculer doit nous faire réagir, tirer vers le jour, la lumière, la vraie, celle du soleil.<br /> Pourtant, il est bon parfois de se recroqueviller dans le noir, de se blottir à l'abri de tous, dans des paradis artificiels. La noirceur donne le vertige, elle est parfois doucereuse, un refuge moite.<br /> Quand le spleen m'attire, la vie réelle contrebalance: êtres vivants dont je prends soin, depuis mes plantes jusqu'à mes animaux, et je ne me sens plus orpheline, mais mère nourricière. BIZ
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